6/05/2008

La pratique du Qi Gong


LES BIENFAITS DU QI GONG


La pratique régulière des exercices de Qi Gong permet prévenir l'apparition de maladies, éventuellement de les soigner, et de prolonger la vie en améliorant sa qualité.

Sans avoir recours à des médicaments et sans matériel particulier, le Qi Gong permet une réduction de l'hypertension artérielle et de la vitesse des battements cardiaques. Il soulage le rhumatisme, le stress, les ulcères à l'estomac et diminue la demande en oxygène du corps et le rythme du métabolisme du corps. D'autre part, il augmente la capacité du système endocrinien ainsi que l'absorption de l'oxygène par le corps.

Les exercices améliorent la tenue du dos, la tonicité musculaire, la souplesse et ont une action équilibrante sur les organes internes du corps (coeur, poumons, foie, rate, reins), d'où un meilleur équilibre général et une énergie vitale accrue.

Par le Qi Gong, le sang et le Qi (énergie du corps) circulent plus librement dans les méridiens et dans le corps. Le yin et le yang s'harmonisent. Ceci aide à prévenir les infections, les débalancements, les blocages et aide à la récupération du corps.




ECOLES DE QI GONG ?

Il existe 5 écoles :

1) École médicinale :
son but est de renforcer la santé, prophylactique, et éventuellement de soigner des maladies.

2) École confucianiste :
Créée par Confucius au 6ème siècle avant notre ère et développée par Mancius au 4ème siècle avant notre ère.

Cette école se caractérise par trois directions de travail :
- connaissance
- moralité
- droiture

3) École bouddhique :
- L'enseignement repose sur l'entraînement et la libération mentales.
- l'école SAMADHI qui dit que "tout n'est qu'illusion"
- l'école CHAN (ZEN en japonais ), qui vise la purification de l'individu.

4) École taoïste :
prêche le non-agir, "WU WEI". Elle a pour but d'accroître la longévité et de vivre en harmonie avec la nature.

5) École des arts martiaux :
vise au maintien et à l'amélioration de la santé puis éventuellement d'utiliser cette vigueur dans le combat.



LES POINTS COMMUNS DES DIFFÉRENTES FORMES DE QI GONG


Il faut souligner que le Qi Gong est une méthode qui considère l'être humain dans son ensemble, dans sa globalité.

Les différentes formes de Qi Gong s'appuient toujours sur les mêmes bases

postures du corps
fixation du mental (concentration/méditation)
régulation de la respiration
mouvement

Tous les exercices de Qi Gong nécessitent de la patience et une pratique régulière.



UNE PRATIQUE À PART ENTIÈRE


Le Qi Gong peut être étudié dans le cadre de l'art martial, sous sa forme Yang Sheng, mais peut faire l'objet d'un enseignement spécifique si l'on souhaite concentrer son travail sur l'aspect bien-être d'une pratique physique et spirituelle. Les exercices de Qi Gong sont très adaptés pour les femmes ou les personnes d'âge mûr, même celles n'ayant jamais pratiqué les arts martiaux. C'est au contraire une excellente façon de les découvrir en renforçant son énergie vitale et en travaillant la souplesse.



Quelques contre-indications (important)

Le Qi Gong liquéfie le sang et en augmente la circulation, c'est pourquoi il n'est pas reccomendé de le pratiquer chez la femme enceinte ou menstruée. Il est aussi déconseillé pour les personnes souffrant d'hémorragies internes ou externes suite à un traumatisme. Ne pas continuer les exercices si vous vous sentez étourdis ou faible. Si vous souffrez de problèmes psychologiques graves ou d'une infection aiguë, il est préférable de ne pas pratiquer le Qi Gong.

Préférablement, vous ne devez pas manger, boire ou avoir de relations sexuelles durant une heure avant et après les exercices. Evitez tout alcool. Durant l'exercice, faites face au nord ou au sud, en ligne avec les champs magnétique de la terre.



Les quatre méthodes de diagnostic dans la MTC



Pour guérir la maladie, le médecin doit d'abord préciser le diagnostic. Dans la médecine chinoise qui se distingue de la médecine occidentale, on pratique principalement les quatre méthodes de diagnostic : l'observation, la perception, l'interrogation et la palpation.

D'après la médecine chinoise, le corps humain est un organisme, où les organes, les viscères et d'autres éléments du corps sont reliés physiologiquement et ont pathologiquement une influence les uns sur les autres. C'est pourquoi on peut obtenir un diagnostic par ces quatre methodes qui se basent sur des examens externes comme l'observation, la prise du pouls, etc. Le Traité des problèmes difficiles de Bian Que consigne : « L'observation permet d'examiner l'expression, la mine, l'enduit lingual et l'aspect du patient pour savoir s'il est vraiment malade. La perception consiste à écouter la voix, le souffle, la toux, etc. et à flairer l'odeur du corps du sujet pour connaître de quelle maladie il est atteint. L'interrogation permet de connaître les habitudes alimentaires du malade, son appédit, et d'avoir d'autres renseignements relatifs à la maladie afin d'en trouver la cause. Par la palpation, on entend la prise du pouls de manière à en connaître la force, la vitesse et la cadence, dans le but de connaître les causes de la maladie.

Chaque méthode a sa particularité et son utilisation propre. On ne peut pas remplacer l'une par l'autre. Mais ces quatre méthodes sont considérées comme un emsemble intégral de diagnostic et s'emploient simultanément. C'est seulement ainsi que l'on peut faire des examens systématiques, obtenir une conclusion précise et donner un fondement solide à la thérapie dialectique.

OBSERVATION

Par l'observation, on entend l'examen de l'expression, de la couleur de la peau, de la physionomie, de la mine, de l'enduit lingual, des sécrétions et des excrétions du patient, dont les variations anormales constituent des symptômes de maladie.

PERCEPTION

La perception est une diagnostic consistant à écouter la voix, le souffle, l'essoufflement, le hoquet, les renvois, le soupir et d'autres bruits physiologiques et à flairer l'odeur de l'haleine, des sécrétions et des excrétions. Par le timbre, la gamme et la cadence des bruits et le changement de l'odeur de ces matières, on peut discerner des maladies différentes.

INTERROGATION

L'interrogation se fait par le médecin qui pose des questions au patient ou à ses proches sur ce qui concerne la maladie : les douleurs, l'appétit, le sommeil, les excrétions, les habitudes et le régime du malade et le moment, la cause et l'histoire de la venue des maladies, etc. cette méthode, directe et efficace, occupe une place importante dans le diagnostic.

PALPATION

La palpation comprend deux parties : la prise de pouls et l'effleurement manuel ou la pression digitale.

La prise du pouls s'opère en pressant trois doigts resperctivement sur les endroits de trois pouls Cun, Guan et Chi. Avec les trois gammes de pressions (légère, moyenne et énergique), on peut mieux discerner les variations des pouls.

Le pouls normal n'est ni rapide ni lent, ni flottant ni pesant, il bat 72 à 80 fois par minute à une cadence régulière. Quant aux pouls anormaux, ils manifestent 17 signes synthétisés par 6 « natures » (flottante, pesante, lente, rapide, coulante et stagnante). Chaque « natures » permet de définir une ou plusieurs maladies. Nous revenons maintenant à la diagnose d'effleurement manuel ou de pression digitale. Il s'agit de prendre la tempérarure du corps, ou de presser les mains, les pieds, les muscles ou les endroits directement concernés par la maladie pour savoir s'il n'y a pas de maux, de concrétions, de changements rigides, etc.


6/04/2008

Les médicaments chinois

La Chine, vaste espace, abonde en substances médicamenteuses. Les médicaments tirés de la nature jouent, depuis l'antiquité, un rôle important dans les progrès de la médecine et de la civilisation chinoises.

Les médicaments sont extraits du règne animal, minéral et surtout végétal, les trois grandes divisions de la nature. Les racines, tiges, feuilles, fleurs, fruits et écorces de certaines plantes peuvent tous servir à la composition de médicaments selon la théorie originale de la médecine chinoise.


HISTOIRE

La pharmacologie est une partie intégrante de la médecine chinoise, et la pharmacothérapie est un des principaux emplois.

C'est dans la pratique que l'on reconnaît les médicaments et développe leur emploi au fil des années. Dans la société primitive, lors que les hommes cherchaient de quoi se nourrir, il leur arrivait souvent de manger des substances toxiques. Ils vomissaient alors, avaient la diarrhée ou tobaient dans le coma. Ils apprirent à reconnaître les toxiques, de même ils trouvèrent les substances nécessaires pour guérir les maux. C'est ainsi qu'apparrut la première pharmacothérapie. En ce qui concerne la découvre des médicaments chinois, le Livre du prince de Huainan rédigé sous les Han ( de 206 av.J-C à 200 apr. J-C ) mentionne : « Shen Nong goûta diverses herbes& Il alla juqu'à discerner 70 toxiques en un seul jour. »

Nos ancêtres nous ont légué de riches documents sur la pharmacologie. Le Materia Medica de Shen Nong est la plus ancienne oeuvre consacré à la pharmacologie. Trois cent soixante-cinq substances médicamenteuses sont recensées. Le Materia Medica révisé, rédigé sous les Tang (618-907), est la première pharmacopée chinoise. Le Compendium de Materia Medica de Li Shizhen paru en 1578 cite 1892 substances médicamenteuses. En dressant le bilan des expériences acquises par ses prédécesseurs, Li Shizhen réalisa cet ouvrage grandiose, jetant une base solide au développement de la pharmacologie chinoise. Les chef-d'oeuvres de ce genre, écrits à l'époque des Qing, sont le Supplément au Compendium de Materia Medica et la Vérification des noms et dessins des plantes. La pharmacologie chinoise s'est sans cesse enrichie et développée depuis l'antiquité.



CATEGORIE

Les substances médicamenteuses sont curatives, parce qu'elles ont leurs effets propres. Dans la médecine chinoise, elles sont classées selon leurs saveurs et vertus, leurs conséquences sur les méridiens, leurs effets, leurs propriétés toxique ou antitoxique, etc.
On appelle les saveurs et vertus aussi les quatre odeurs et les cinq saveurs. Les quatre vertus des médicaments sont le chaud, le froid, le tiède et le frais. Les médicaments curatifs pour les maladies fébriles ont des vertus froides ou fraiches, alors que les remèdes apaisant les maladies de nature froide ont des effects « tièdees » ou « chauds ». Par les cinq saveurs, on entend ce qui donne une sensation âcre, aigre, douce, amère ou salée. Or, il existe des médicaments qui ont une autre saveur, âpre ou fade par exemples. Les « cinq saveurs » constituent donc un terme de la pharmacologie chinoise, servant à indiquer l'effet des médicaments. En effet, le remède acide a un effet astringent, le remède âpre un effet de dissipation et le remède doux un effet tonique.

Les conséquences sur les méridiens signifient que l'on peut distinguer les médicaments selon l'effet exercé sur tel ou tel organe ou viscère. Par exemple Herba houttuyniae et Belamcanda chinensis sont toutes deux amères et de propriété froide, mais le premier s'achemine facilement vers le méridien du gros intestin et s'utilise en cas de dysenterie, et le second est efficace surtout contre pharingite et la laryngite ; Atractylodes macrocephala et Schisandra chinensis sont tous deux toniques, l'un s' achemine vers le méridien de la rate, l'autre vers les méridiens du coeur et des reins.

Au point de vue pathologique et symptomatique, les maladies sont synthétisées par des « moteurs élévateurs » (vomissement), d'abaissement (diarrhée et dysenterie), d'exhalation (sueur nocturne) et d'infilitration (éruption abortive de la rougeole). De façon similaire on a indiqué les effets des médicaments par les termes : élévation, abaissement, exhalation et dispersion.


PREPARATION

La préparation des médicaments est très importante. Au début, on utilisa directement les substances médicamenteuses sans les préparer. Peu à peu on s'est rendu compte des avantages de préparer les médicaments : ils sont plus efffaces. La racine de Radix rehmanniae brute a un effet rafraîchissant pour le sang, une fois traité elle devient tonique. Certaines substances toxiques sont devenues des médicaments. De plus, les médicaments traités sont plus faciles à conserver et à transporter. Un dicton dit : « Une préparation imparfaite ne saurait donner aux médicaments l'efficacité indispensable, et une préparation à l'excès pourrait nuire à leurs saveurs et vertus. » Quand aux méthodes de préparation, il s'agit de lavage, broyage, coupage, rinçage, macération, séchage, cuisson, trempe, etc. On purifie ou désinfecte ainsi les substances médicamenteuses et améliore leurs saveurs et vertus afin de les transformer en médicaments voulus.

Le remède composé de plusieurs ingrédients s'appelle aussi « base de la tisane ». On doit choisir et doser tous les composants selon la malade à soigner.

Les produits pharmaceutiques ont la la forme de pilule, poudre, composition aqueuse, etc. Aujourd'hui on compte plusieurs milliers de sortes. On peut dire qu'ils sont le symbole des médicaments chinois.


DEVELOPPEMENT

Ces dernières années, parallèlement à la cueillette des substances médicamenteuses naturelles, les plantations des plantes médicinales et la production des substances médicamenteuses de règne animal, minéral ont fait de grands progrès. Les résultats sont remarquables et plus particulièrement dans la production du bézoard de boeuf et du bornéol synthétiques. La découverte de médicaments à base d'Artemisia apiacea et l'extrait de bile de l'ours sans le tuer attirent l'attention des millieux médicaux internationaux.



6/03/2008

L'acupunture et la moxibustion


Dans les Mémoires historiques, parues il y a plus de 2 000 ans, la Biographie de Bian Que raconte une anecdote : Un jour, à son arrivée dans le royaume de Guo, Bian Que apprit que le prince venait de mourir subitement. Docteur, il se rendit tout de suite à la Cour pour le secourir. Après un examen minutieux, il conclut que le prince n'était pas vraiment mort mais seulement en état de coma. Alors il prit son aiguille et pratiqua sur le prince un coup d'acupuncture sur le point donné du corps. Ce dernier revint à lui et se rétablit après une vingtaine de jours de soins médicaux.

Bien Que, maître de la médecine de l'époque, savait bin appliquer la piqûre par aiguille à la thérapie. Cela démontre bien que l'acupuncture remonte loin dans l'histoire.

A l'époque néolithique, nos ancêtres connurent déjà l'acupuncture et la moxibustion. Mais leurs instruments originels d'acupuncture étaient des poinçons de pierre (pierre bian). Au cours d'une longue évolution, ils furent remplacés par des auguilles d'os, de bambou et de poterie. Enfin les aiguilles métalliques firent leur apparition après la découverte du métal.

L'acupuncture et la moxibustion sont deux méthodes thérapeutiques différentes. L'une, originale à la Chine, consiste à piquer, frapper ou saigner, au moyen d'aiguilles de différents types, les points choisis du corps, afin d'obtenir des résultats thérapeutique. L'autre est le procédé selon lequel on cautérise les points déterminés du revêtement cutané à l'aide de tiges, de bâtonnets ou de poudre de feuilles d'armoise. Elles peuvent toutes exercer, par ces points déterminés du corps, un effet sur les méridiens et collatérales, les organes et les viscères en vue de renforcer l'énergie vitale et la circulation du sang et de régulariser l'immunité active, en sorte que les éléments positifs internes l'emportent sur les négatifs et que la maladie guérit.

Le Traité de médecine interne de l'empereur Jaune est une oeuvre médicale la plus ancienne de Chine. Il consistue une source de renseignements sur l'acupuncture et la moxibustion : la répartition des points et du système de méridiens, les techniques de manipulation des aiguilles, la théorie sur laquelle se basent ces deux thérapies, etc. En somme, il a jeté une base théorique pour le développement de l'acupuncture et de la moxisation. Au milieu du 3ème siècle, en étudiant le Traité de médecine interne de l'empereur Jaune et les Précis des points d'acupuncture et de moxibustion de Mintang, Huangfu Mi rédigea les Classiques A et B de l'acupuncture et de la moxibustion. Dans cet ouvrage sont enregistrés 349 noms de points d'acupuncture et de moxibustion et sont exposées la théorie, les techniques, les indications et les contre-indications des ces deux thérapies. Il occupe une place importante dans la patrimoine de la médecine chinoise. Vers la fin du 16ème siècle, Yang Jizhou écrivit le Compendium d'acupuncture et de moxibustion, faisant le bilan des expériences de ses prédécesseurs et de grands progrès dans ce domaine. Toutes ces oeuvres jouent depuis toujours un rôle important dans la propagation de la médecine traditionnelle chinoise en Chine et à l'étranger.

Les expériences ont prouvé que l'acupuncture est très efficace pour le traitement de plus de 300 maladies, telles que : nervosisme, affections digestives, énurésie, dysménorrhée, aménorrhée, surdité, tintements d'oreilles, myopie, etc.

Partie intégrante de la médecine traditionnelle chinoise, l'acupuncture attire l'attention du monde par son efficacité magique. Maintenant plus de 120 pays et régions possèdent des acupuncteurs. C'est une bonne indication qui prouve qu'elle sert davantage de peuples.



Le massage chinois


Le massage chinois (Tui Na) fait partie des arts thérapeutiques de l’ancienne médecine chinoise traditionnelle au même titre que l’acupuncture ou la phytothérapie. Alors que le massage chinois est pratiqué couramment en Chine depuis plus de 4000 ans et qu’on y a recours actuellement dans tout le pays, il est encore pratiquement inconnu en occident. Le terme « Tui Na » vient du chinois exprimant le caractère à la fois vigoureux et pratique de cette méthode thérapeutique : Tui signifie pousser et Na saisir. Ce massage ne soulage pas seulement les muscles ou les articulations mais agit plus profondément, sur le mode de circulation de l’énergie vitale à travers le corps tout entier.

D’après la philosophie chinoise, cette énergie vitale ou Qi imprègne l’univers tout entier : c’est la force dynamisante à la base de toute vie. Dans notre corps, le Qi circule à travers des canaux appelés méridiens, apportant de l’énergie aux organes, aux tissus, et sur le plan psychologique.

Le massage chinois utilise des pressions le long des méridiens, sur des points spécifiques affectant ainsi la circulation du Qi, pour la rendre plus libre et plus régulière. La répartition du Qi à travers le corps a de profondes répercussions sur le bien-être : émotionnellement, intellectuellement, spirituellement autant que physiquement.

Le massage chinois est particulièrement efficace pour les douleurs musculaires et articulaires dues à la pratique d’un sport à l’usure naturelle, au stress. Outre la décontraction musculaire, le massage chinois modifie la circulation du Qi (énergie) pour rééquilibrer les blocages énergétiques sous jacents liés au stress. En plus de soulager certaines douleurs, le massage chinois renforce la vitalité et le bien être, stimulant ainsi le système immunitaire.

Après des mouvements de pétrissage vigoureux, les muscles et les tissus sont à la fois détendus et tonifies. Le massage chinois permet une stimulation complète des systèmes osseux et musculaires ainsi que des organes internes. En rééquilibrant la circulation du Qi, le massage chinois revigore l’esprit et les émotions.


China ABC


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Source: chine-informations.com

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